La lune (ZAZ)
J'irai moi aussi sur la lune
Demain c'est sûr je tisserai
Un fil de ma terre à sa brume
Et vers elle je me glisserai
Pour offrir des fleurs à ses dunes
Lui dire que je l'aime de plus près
J'irai moi un jour sur la lune
J'en peux plus de l'imaginer
Et quand le soleil m'abandonne
Qu'il rougit de me délaisser
Je sens l'aura de l'aréole
M'envahir et me kidnapper
C'est sûr j'irai un jour là haut
Puiser des secret à la louche
Aussi pour lui faire un cadeau
A dos d'éléphant et de mouche
J'irai c'est sûr un jour là haut
J'ai déjà prévu l'escalier
Avec des ailes pour mieux grimper
Au milieu de la voie lactée
J'irai moi aussi sur la lune
Pour un échange de secrets
Les siens emballés dans son tulle
Les miens en hublot de Noé
J'irai la voir un jour c'est sûr
Et j'serai même pas déguisée
C'est sûr j'irai un jour là haut
Puiser des secret à la louche
Aussi pour lui faire un cadeau
A dos d'éléphant et de mouche
J'irai c'est sûr un jour là haut
J'ai déjà prévu l'escalier
Avec des ailes pour mieux grimper
Au milieu de la voie lactée
C'est sûr j'irai un jour là haut
Puiser des secret à la louche
Aussi pour lui faire un cadeau
A dos d'éléphant et de mouche
J'irai c'est sûr un jour là haut
J'ai déjà prévu l'escalier
Avec des ailes pour mieux grimper
Au milieu de la voie lactée
C'est sûr j'irai un jour là haut
Puiser des secret à la louche
Aussi pour lui faire un cadeau
A dos d'éléphant et de mouche
J'irai c'est sûr un jour là haut
J'ai déjà prévu l'escalier
Avec des ailes pour mieux grimper
Au milieu de la voie lactée
J'irai moi aussi sur la lune
J'irai c'est sûr monter là haut
Des baisers semés par nos bouches
Et des rêves d'humanité
J'irai pour la réconforter
Lui dire que je l'aime de plus près
Demain c'est sûr je tisserai
Un fil de ma terre à sa brume
Et vers elle je me glisserai
Pour offrir des fleurs à ses dunes
Lui dire que je l'aime de plus près
J'irai moi un jour sur la lune
J'en peux plus de l'imaginer
Et quand le soleil m'abandonne
Qu'il rougit de me délaisser
Je sens l'aura de l'aréole
M'envahir et me kidnapper
C'est sûr j'irai un jour là haut
Puiser des secret à la louche
Aussi pour lui faire un cadeau
A dos d'éléphant et de mouche
J'irai c'est sûr un jour là haut
J'ai déjà prévu l'escalier
Avec des ailes pour mieux grimper
Au milieu de la voie lactée
J'irai moi aussi sur la lune
Pour un échange de secrets
Les siens emballés dans son tulle
Les miens en hublot de Noé
J'irai la voir un jour c'est sûr
Et j'serai même pas déguisée
C'est sûr j'irai un jour là haut
Puiser des secret à la louche
Aussi pour lui faire un cadeau
A dos d'éléphant et de mouche
J'irai c'est sûr un jour là haut
J'ai déjà prévu l'escalier
Avec des ailes pour mieux grimper
Au milieu de la voie lactée
C'est sûr j'irai un jour là haut
Puiser des secret à la louche
Aussi pour lui faire un cadeau
A dos d'éléphant et de mouche
J'irai c'est sûr un jour là haut
J'ai déjà prévu l'escalier
Avec des ailes pour mieux grimper
Au milieu de la voie lactée
C'est sûr j'irai un jour là haut
Puiser des secret à la louche
Aussi pour lui faire un cadeau
A dos d'éléphant et de mouche
J'irai c'est sûr un jour là haut
J'ai déjà prévu l'escalier
Avec des ailes pour mieux grimper
Au milieu de la voie lactée
J'irai moi aussi sur la lune
J'irai c'est sûr monter là haut
Des baisers semés par nos bouches
Et des rêves d'humanité
J'irai pour la réconforter
Lui dire que je l'aime de plus près
Cette journée (ZAZ)
Cette journée nous appartient,
Et ne remettra rien en cause,
Ce que je suis ni d'où tu viens,
On en retendra quelque chose,
Cette journée pour toute une vie,
Comme si on avait mis sur pause
Ce que tu es et d'où je suis,
Tout ce qu'on s'est dit je suppose.
Au lendemain de nos adieux
Sur le chemin de ma vraie vie,
Une autre couleur dans les yeux,
Un peu de peur et d'interdit,
Comme on s'est laissé par amour,
Sans la tristesse des regrets,
Comme un accord et pour toujours,
Un peu de nos caresses en secret.
Et si les années sont passées
Sur ton visage et son sourire,
Si j'ai bien souvent repensé,
À ton odeur et tes soupirs,
À me redemander pourquoi,
Si je ne sais plu qui j'étais,
Avant que ce soit toi et moi,
Pour quelques heures à tout jamáis.
Et ne remettra rien en cause,
Ce que je suis ni d'où tu viens,
On en retendra quelque chose,
Cette journée pour toute une vie,
Comme si on avait mis sur pause
Ce que tu es et d'où je suis,
Tout ce qu'on s'est dit je suppose.
Au lendemain de nos adieux
Sur le chemin de ma vraie vie,
Une autre couleur dans les yeux,
Un peu de peur et d'interdit,
Comme on s'est laissé par amour,
Sans la tristesse des regrets,
Comme un accord et pour toujours,
Un peu de nos caresses en secret.
Et si les années sont passées
Sur ton visage et son sourire,
Si j'ai bien souvent repensé,
À ton odeur et tes soupirs,
À me redemander pourquoi,
Si je ne sais plu qui j'étais,
Avant que ce soit toi et moi,
Pour quelques heures à tout jamáis.
Si (ZAZ)
Si j'étais l'amie du bon Dieu
Si je connaissais les prières.
Si j'avais le sang bleu.
Le don d'effacer et tout refaire.
Si j'étais reine ou magicienne
princesse, fée, grand capitaine,
d'un noble régiment.
Si j'avais les pas d'un géant.
Je mettrais du ciel en misère,
Toutes les larmes en rivière,
Et fleurirais des sables
où filent même l'espoir
Je sèmerais des utopies,
plier serait interdit,
On ne détournerait plus les regards.
Si j'avais des milles et des cents,
Le talent, la force ou les charmes,
Des maîtres, des puissants.
Si j'avais les clés de leurs âmes.
Si je savais prendre les armes.
Au feu d'une armée de titans.
J'allumerais des flammes,
Dans les rêves éteints des enfants.
Je mettrais des couleurs aux peines.
J'inventerais des Éden.
Aux pas de chances, aux pas d'étoiles, aux moins que rien.
Mais je n'ai qu'un cœur en guenille,
Et deux mains tendues de brindilles.
Une voix que le vent chasse au matin.
Mais si nos mains nues se rassemblent,
Nos millions de cœurs ensembles.
Si nos voix s'unissaient,
Quels hivers y résisteraient ?
Un monde fort, une terre âme sœur,
Nous bâtirons dans ces cendres
Peu à peu, miette à miette,
goutte à goutte et cœur à cœur
Peu à peu, miette à miette,
goutte à goutte et cœur à cœur
Si je connaissais les prières.
Si j'avais le sang bleu.
Le don d'effacer et tout refaire.
Si j'étais reine ou magicienne
princesse, fée, grand capitaine,
d'un noble régiment.
Si j'avais les pas d'un géant.
Je mettrais du ciel en misère,
Toutes les larmes en rivière,
Et fleurirais des sables
où filent même l'espoir
Je sèmerais des utopies,
plier serait interdit,
On ne détournerait plus les regards.
Si j'avais des milles et des cents,
Le talent, la force ou les charmes,
Des maîtres, des puissants.
Si j'avais les clés de leurs âmes.
Si je savais prendre les armes.
Au feu d'une armée de titans.
J'allumerais des flammes,
Dans les rêves éteints des enfants.
Je mettrais des couleurs aux peines.
J'inventerais des Éden.
Aux pas de chances, aux pas d'étoiles, aux moins que rien.
Mais je n'ai qu'un cœur en guenille,
Et deux mains tendues de brindilles.
Une voix que le vent chasse au matin.
Mais si nos mains nues se rassemblent,
Nos millions de cœurs ensembles.
Si nos voix s'unissaient,
Quels hivers y résisteraient ?
Un monde fort, une terre âme sœur,
Nous bâtirons dans ces cendres
Peu à peu, miette à miette,
goutte à goutte et cœur à cœur
Peu à peu, miette à miette,
goutte à goutte et cœur à cœur
J'ai tant escamoté (ZAZ)
J'ai tant escamoté, l'angle des parapets
De mes incontournables et de mes indomptables
Dédicacé mes nuits, et levé les poignets
Sur les comptoirs luisants de flaques innombrables
De chagrins sans marée, de mensonges enjambés.
Des marais de promesses, non moi je n'en veux plus
Juste que disparaisse, le goût du survécu
Et que des alibis, je me déshabitue.
Et pour qu'on intoxique mes veines assoiffées,
Je vous tends ma chemise, baisse mon pantalon,
Je suis nue comme un vers, dt je remplis d'hiver,
Cette folle tentation, qui gèle mes frissons.
Aux phares sans lumière, je me suis accrochée
Et gravée sur ma chair au cuir désespéré,
L'encre de mes chimères, celle de vos baisers
Tarie dans les ornières de mon identité,
Les fugues sans frontière, les refuges obtus
L'alphabet du bréviaire, non, moi je n'en veux plus
Je confesse à ma bière tous ces malentendus,
J'avoue à la kermesse mon paradis perdu.
Et pour qu'on intoxique mes veines assoiffées,
Je vous tends ma chemise, baisse mon pantalon,
Je suis nue comme un vers, dt je remplis d'hiver,
Cette folle tentation, qui gèle mes frissons.
J'ai tant escamoté l'ange de ma liberté
De mes incontournables et de mes indomptables
Que les angles du ciel, ceux de la charité
Ont lu dans mon regard l'aurore insurmontable.
De mes lambeaux de larmes, de mon cœur ébréché
Du souffle et de sa panne, non, moi je n'en veux plus
Je dissous mon absence, je renais en silence
Je serre tout contre moi, le saints du porte-clé.
Et pour qu'on intoxique mes veines assoiffées,
Je vous tends ma chemise, baisse mon pantalon,
Je suis nue comme un vers, et je remplis d'hiver,
Cette folle tentation, qui gèle mes frissons.
Et pour qu'on intoxique mes veines assoiffées
Je vous rends ma chemise ivre de liberté
Je délaisse l'hiver, je laisse à l'abandon
Cette folle tentation qui gèle mes frissons.
De mes incontournables et de mes indomptables
Dédicacé mes nuits, et levé les poignets
Sur les comptoirs luisants de flaques innombrables
De chagrins sans marée, de mensonges enjambés.
Des marais de promesses, non moi je n'en veux plus
Juste que disparaisse, le goût du survécu
Et que des alibis, je me déshabitue.
Et pour qu'on intoxique mes veines assoiffées,
Je vous tends ma chemise, baisse mon pantalon,
Je suis nue comme un vers, dt je remplis d'hiver,
Cette folle tentation, qui gèle mes frissons.
Aux phares sans lumière, je me suis accrochée
Et gravée sur ma chair au cuir désespéré,
L'encre de mes chimères, celle de vos baisers
Tarie dans les ornières de mon identité,
Les fugues sans frontière, les refuges obtus
L'alphabet du bréviaire, non, moi je n'en veux plus
Je confesse à ma bière tous ces malentendus,
J'avoue à la kermesse mon paradis perdu.
Et pour qu'on intoxique mes veines assoiffées,
Je vous tends ma chemise, baisse mon pantalon,
Je suis nue comme un vers, dt je remplis d'hiver,
Cette folle tentation, qui gèle mes frissons.
J'ai tant escamoté l'ange de ma liberté
De mes incontournables et de mes indomptables
Que les angles du ciel, ceux de la charité
Ont lu dans mon regard l'aurore insurmontable.
De mes lambeaux de larmes, de mon cœur ébréché
Du souffle et de sa panne, non, moi je n'en veux plus
Je dissous mon absence, je renais en silence
Je serre tout contre moi, le saints du porte-clé.
Et pour qu'on intoxique mes veines assoiffées,
Je vous tends ma chemise, baisse mon pantalon,
Je suis nue comme un vers, et je remplis d'hiver,
Cette folle tentation, qui gèle mes frissons.
Et pour qu'on intoxique mes veines assoiffées
Je vous rends ma chemise ivre de liberté
Je délaisse l'hiver, je laisse à l'abandon
Cette folle tentation qui gèle mes frissons.
Comme ci, comme ça (ZAZ)
On veut faire de moi c’que j’suis pas
Mais je poursuis ma route j’me perdrai pas
C’est comme ça
Vouloir à tout prix me changer
Et au fil du temps m’ôter ma liberté
Hereusement, j’ai pu faire autrement
Je choisis d’être moi tout simplement
Je suis comme ci
Et ça me va
Vous ne me changerez pas
Je suis comme ça
Et c’est tant pis
Je vis sans vis-à-vis
Comme ci comme ça
Sans interdit
On ne m’empêchera pas
De suivre mon chemin
Et de croire en mes mains
Ecoute, écoute-la cette petite voix
Ecoute-la bien, elle guide tes pas
Avec elle tu peux échapper
Aux rêves des autres qu’on voudrait t’imposer
Ces mots là ne mentent pas
C’est ton âme qui chante ta mélodie à toi
Je suis comme ci
Et ça me va
Vous ne me changerez pas
Je suis comme ça
Et c’est tant pis
Je vis sans vis-à-vis
Comme ci comme ça
Sans interdit
On ne m’empêchera pas
De suivre mon chemin
Et de croire en mes mains
Si c’est ça, c’est assez, c’est ainsi
C’est comme ci comme ça
Ca se sait, ça c’est sûr, on sait ça
C’est comme ça comme ci
Je suis comme ci
Et ça me va
Vous ne me changerez pas
Je suis comme ça
Et c’est ainsi
Je vis sans vis-à-vis
Comme ci comme ça
Sans peur de vos lois
On ne m’empêchera pas
De suivre mon chemin
Créer ce qui me fait du bien
Si c’est ça, c’est assez, c’est ainsi
C’est comme ci comme ça
Mais je poursuis ma route j’me perdrai pas
C’est comme ça
Vouloir à tout prix me changer
Et au fil du temps m’ôter ma liberté
Hereusement, j’ai pu faire autrement
Je choisis d’être moi tout simplement
Je suis comme ci
Et ça me va
Vous ne me changerez pas
Je suis comme ça
Et c’est tant pis
Je vis sans vis-à-vis
Comme ci comme ça
Sans interdit
On ne m’empêchera pas
De suivre mon chemin
Et de croire en mes mains
Ecoute, écoute-la cette petite voix
Ecoute-la bien, elle guide tes pas
Avec elle tu peux échapper
Aux rêves des autres qu’on voudrait t’imposer
Ces mots là ne mentent pas
C’est ton âme qui chante ta mélodie à toi
Je suis comme ci
Et ça me va
Vous ne me changerez pas
Je suis comme ça
Et c’est tant pis
Je vis sans vis-à-vis
Comme ci comme ça
Sans interdit
On ne m’empêchera pas
De suivre mon chemin
Et de croire en mes mains
Si c’est ça, c’est assez, c’est ainsi
C’est comme ci comme ça
Ca se sait, ça c’est sûr, on sait ça
C’est comme ça comme ci
Je suis comme ci
Et ça me va
Vous ne me changerez pas
Je suis comme ça
Et c’est ainsi
Je vis sans vis-à-vis
Comme ci comme ça
Sans peur de vos lois
On ne m’empêchera pas
De suivre mon chemin
Créer ce qui me fait du bien
Si c’est ça, c’est assez, c’est ainsi
C’est comme ci comme ça
Le retour du soleil (ZAZ)
Quand on parle de héros, que dire de ces hommes,
Qui vivent sous le manteau, et qui ne sont personne?
Ils gardent l'insolence, contre l'ordre établi,
La désobéissance comme un dernier défi.
Quand on parle de héros, que dire de ces femmes,
Qui vivent sous le fardeau d'un état animal?
Elles gardent leurs sanglots au creux le leurs mains nues,
Et la fierté sans mot de ne pas s'´être tues.
Oh, Oh! Ils attendent dans l'ombre le retour du soleil,
Et que passe l'immonde et qu'enfin se réveille,
Ce soleil endormi qu'on leur avait voilé,
La liberté chérie qu'on leur avait volé,
Ils attendent dans l'ombre le retour du soleil,
Ils attendent dans l'ombre le retour du soleil.
Debout devant les chars, à braver les soldats,
Ils sont de cet espoir que l'on ne couche pas.
Ta tête qui se relève au milieu du troupeau,
Et qui lutte et qui crève pour un monde plus beau.
Oh, Oh! Ils attendent dans l'ombre le retour du soleil,
Et que passe l'immonde et qu'enfin se réveille,
Ce soleil endormi qu'on leur avait voilé,
La liberté chérie qu'on leur avait volé,
Ils attendent dans l'ombre le retour du soleil,
Ils attendent dans l'ombre le retour du soleil.
Tous ensemble au cœur du soleil,
Entrons dans la marche du soleil,
Tous ensemble au cœur du soleil,
Entrons dans la marche du soleil,
Allons! Allons!
Qu'on nous avait volé,
Qu'on nous avait voilé,
Qu'on nous avait voilé.
Allons! Allons!
Maintenant! Maintenant!
Qui vivent sous le manteau, et qui ne sont personne?
Ils gardent l'insolence, contre l'ordre établi,
La désobéissance comme un dernier défi.
Quand on parle de héros, que dire de ces femmes,
Qui vivent sous le fardeau d'un état animal?
Elles gardent leurs sanglots au creux le leurs mains nues,
Et la fierté sans mot de ne pas s'´être tues.
Oh, Oh! Ils attendent dans l'ombre le retour du soleil,
Et que passe l'immonde et qu'enfin se réveille,
Ce soleil endormi qu'on leur avait voilé,
La liberté chérie qu'on leur avait volé,
Ils attendent dans l'ombre le retour du soleil,
Ils attendent dans l'ombre le retour du soleil.
Debout devant les chars, à braver les soldats,
Ils sont de cet espoir que l'on ne couche pas.
Ta tête qui se relève au milieu du troupeau,
Et qui lutte et qui crève pour un monde plus beau.
Oh, Oh! Ils attendent dans l'ombre le retour du soleil,
Et que passe l'immonde et qu'enfin se réveille,
Ce soleil endormi qu'on leur avait voilé,
La liberté chérie qu'on leur avait volé,
Ils attendent dans l'ombre le retour du soleil,
Ils attendent dans l'ombre le retour du soleil.
Tous ensemble au cœur du soleil,
Entrons dans la marche du soleil,
Tous ensemble au cœur du soleil,
Entrons dans la marche du soleil,
Allons! Allons!
Qu'on nous avait volé,
Qu'on nous avait voilé,
Qu'on nous avait voilé.
Allons! Allons!
Maintenant! Maintenant!
Être un homme comme vous (Ben l'Oncle Soul)
Je suis le roi de la danse, oh !
La jungle est à mes pieds,
De la puissance je suis au plus haut
Et pourtant je dois vous envier.
Je voudrais devenir un homme
Ce serait merveilleux.
Vivre pareil aux autres hommes,
Loin des singes ennuyeux.
Oh woupidou!
Je voudrais marcher comme vous!
Et parler comme vous,
Faire comme vous, tout !
Un singe comme moi,
Pourrait je crois,
Etre parfois
Bien plus humain que vous !
Pourtant crois-moi bien
Je ne suis pas dupe
Si je marchande avec vous
C'est que je désire le moyen d'être
Un homme un point c'est tout
Dis-moi le secret pour être un homme,
Est-ce vraiment si mystérieux ?
Pour moi faire éclore la grande fleur rouge
Ce serait merveilleux !
Ouh Ouh Ouh !
Je voudrais marcher comme vous
Et parler comme vous
Faire comme vous, tout !
Car je l'avoue,
Quelqu'un comme moi
C'est vrai, je crois
Peut devenir comme vous !
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